Les pires moyens de torture à travers l’Histoire
Ce qui nous définit en partie, c'est notre capacité à ressentir les émotions et douleurs des autres. C'est pourquoi tout au long des époques qu'il a traversé, l'Homme n'a cessé de rivaliser d'ingéniosité afin de torturer, brûler, démembrer, découper son prochain. Petite session d'exemples de ces élans de sombres créativités historiques !
La chaise de torture chinoise
Utilisée lors d'interrogatoires dans la Chine du XIXè siècle, la victime finissait souvent par mourir de ses blessures et lacérations avant la fin de son interrogatoire.
Le passage sous la quille ou torture des pirates
Cette technique très répandue chez les pirates et marins du XVIIIè siècle visait à attacher avec une corde et jeter par-dessus bord les condamnés.
Ceux-ci se cognaient à la paroi du bateau remplie de coquillages acérés, et le sang des victimes attirait la plupart du temps les requins remontant à la surface.
La fourche des hérétiques
Réservée à ceux qui parlaient en mal de l'Église surtout pendant l'Inquisition, on passait aux hérétiques une sangle en cuir avec une sorte de fourchette pointue des deux côtés. Celle-ci était placée entre le menton et le sternum de sorte à ce que le torturé ne puisse bouger, on leur retirait seulement à l'usage de ces mots : "je me rétracte".
La tige de bambou
Venant d'Extrême-Orient, cette technique visait à ligoter le supplicié au-dessus d'une jeune pousse de bambou.
Certaines espèces pouvant grandir d'un mètre par jour, celui-ci se faisait empaler par le rectum et par la plante jusqu'à en mourir.
La vierge de fer
Ce grand sarcophage était utilisé pendant l'Inquisition. On plaçait la victime encore consciente dans le moule, puis on refermait les portes pleine de piques de fer qui transperçaient alors la personne à l'intérieur.
Le supplice du rat
Cette technique particulièrement horrible consiste à placer un seau ou une cage sur le ventre du condamné et dans lequel est placé un rat.
Le bourreau chauffe alors l’extrémité du seau pour pousser le rat à trouver une sortie qui se trouve être par ce même ventre.
Le berceau de Judas
Cette torture était l'une des pires utilisée pendant le Moyen-Age.
La victime était ligotée nue les mains dans le dos, puis on la hissait en haut d'une pyramide sur laquelle on la tirait de force jusqu'au déchirement.
Le taureau d'Airain
Ce moyen de torture provient à la base d'une légende grecque, il fut adapté dès l’Antiquité et voulait qu'on place le condamné à l'intérieur d'un taureau fait de bronze.
On le faisait passer par une petite porte sur le côté et on allumait un feu sous la bête : le torturé était alors rôti vivant et des systèmes de tuyaux amplifiaient les cris qui venaient de l'intérieur.
La roue
Cette création du Moyen-âge était un divertissement de choix pour tous les villageois !
En place publique la victime était attachée au centre d'une roue qui tournait sur elle-même, et plusieurs bourreaux fracassaient les membres de la victime à l'aide de marteaux en fer.
Le séparateur de genoux
Cet instrument fait de deux morceaux de bois cloutés était un autre petit préféré de l'Inquisition.
Deux grandes vis sur les côtés permettaient de refermer correctement les deux parties sur les genoux du torturé, ou ses bras, afin de le rendre handicapé.
La torture de l'eau chinoise (ou torture de la goutte d'eau)
Cette technique très connue en Chine vise à placer le condamné sous un mince filet d'eau et ce pendant plusieurs jours voire plusieurs mois.
Après autant de temps à recevoir des gouttes d'eau sur le front les victimes devenaient la plupart du temps complètement folles.
Le lingchi ou supplice des huit couteaux
Nous venant également de Chine, le lingchi consiste à trancher méthodiquement et retirer les membres de la victime jusqu'à lui trancher la tête.
La plupart étaient maintenues plus longtemps en vie avec l'aide d'opium afin de couper la douleur.
Le scaphisme
Cette forme de torture perse de l'Antiquité utilisait une sorte de sarcophage que l'on plaçait sur un bateau, et d'où seul sortait la tête et les membres du condamné.
On lui faisait ensuite manger une énorme quantité de lait et de miel pour liquéfier ses excréments et on laissait partir le bateau en badigeonnant les extrémités d'encore plus de miel et de lait.
Les vers qui se développaient dans les excréments des victimes finissaient par dévorer vivant leur corps.
La poire du Pape
Aussi appelée poire de souffrance, celle-ci était placée dans la bouche, le rectum ou l’utérus en fonction des méfaits.
La poire s'ouvrait alors de plus en plus pour faire éclater ou déchirer les orifices ou elle était installée.
Les chaussures de ciment
Utilisée principalement par la mafia pendant le XXè siècle, cette forme de torture comme son nom l'indique visait à cimenter les pieds de la victime qui était ensuite jetée à l'eau.
Bien sûr avec le poids du ciment, les victimes finissaient par toucher le fond et mourir noyées.