Vannes enregistre nettement moins de pics de pollution que la moyenne française. Avec notamment des taux peu élevés :
- en dioxyde d’azote (automobile, agriculture, industrie)
- de soufre (transport maritime, raffinage pétrolier)
- de particules en suspension (agriculture, chauffage).
Par contre, la ville explose les scores en concentration d’ozone.
88 % du temps, la qualité de l’air à Limoges est jugée bonne, voire très bonne.
En gros, vous pouvez vivre sereinement à Limoges en pouvant respirer à pleins poumons sans trop avoir de raison d’angoisser.
Les Brestois utilisent moins leur voiture que les Limougeauds (ouais ouais on les appelle comme ça) (69 % contre 72 %), préférant les transports en commun (14 contre 11%) et malgré tout, la ville est davantage polluée.
Comment expliquer tout ça ? C’est le chauffage et le trafic routier avec son lot de particules fines et de dioxyde d’azote qui font tout foirer...
À Pau tout va niquel niveau pollution, sauf pendant l’été où là c’est l'enfer. L’air devient irrespirable avec des pics de pollution à répétition.
C’est ça aussi d’être au pied des Pyrénées, la pollution veut pas franchir les cols et préfère rester dans la ville.
On est pas vraiment étonné honnêtement, déjà parce la pollution industrielle est quasi inexistante, ben ouais y'a pas vraiment d’industries dans le coin....
Bon, c’est vrai que la circulation y est infernale aux heures de pointe notamment en centre-ville, mais apparemment pas assez vu le taux de pollution relativement faible provenant des véhicules.
Lorient se sert, tout comme Vannes, de sa localisation pour se glisser dans le top 10 des villes françaises les moins polluées.
Comment est-ce possible ? Plus ou moins grâce aux vents qui repoussent la pollution vers ses voisins qui sont un peu plus à l’ouest.
Tout comme Vannes, la ville est aussi réputée pour son taux de pollution à l’ozone au-dessus de la moyenne française.
Même si Rennes s'est déniché une place dans ce classement, la capitale bretonne ne se repose pas et a mis en place un plan de protection de l’atmosphère en 2005, et revisité en 2015.
Ici la pollution provient majoritairement des axes routiers, accompagnés d’un pic lié au chauffage en période hivernale et notamment de froid sec.
Conséquences : le taux de particules fines dans l’air a grimpé depuis 2012 au point de dépasser la moyenne des autres grandes villes françaises.
C'est toujours compliqué de prétendre aux premières places quand on possède dans ses alentours une quarantaine de grosses industries bien polluantes.
Malgré ce handicap de base, la ville rose arrive à s'en sortir avec assez peu de pics de pollution enregistrés chaque année.
Les habitants de Poitiers ont majoritairement choisis de prendre leur voiture plutôt que les transports en commun, et en plus de ça ils se chauffent au fioul... Bah bravo hein !
Sinon plus sérieusement, malgré tout ça, Poitiers a réussi à se faire une petite place dans ce classement, donc c'est pas si mal !
Épargnée par les pics de pollution à répétition, Bayonne souffre tout de même des rejets de sa zone industrielle portuaire de Boucau Tarnos, qui recrache sans cesse poussières et odeurs intoxicantes responsables notamment de problèmes respiratoires.
C'est bien dommage, c'était bien parti les gars...
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