11 punitions terrifiantes que subissaient les femmes au Moyen Âge
Au Moyen Âge, les femmes avaient beaucoup moins de droits. Pourtant les punitions physiques et/ou morales qu'elles subissaient étaient très violentes. Les femmes étaient lourdement punies par rapport aux hommes. Elles n'avaient donc pas le droit à l'erreur.
Parmi les punitions, on retrouve des objets de tortures comme des piloris ou la bride-bavarde et bien d'autres encore. Ils en avaient même parfois à tuer les femmes.
Ces punitions du Moyen-Âge sont plus qu'effrayantes et vous serez choqués de voir que de telles atrocités se passaient, il n'y a de cela pas si longtemps.
Les femmes qui se disputaient étaient attachées dans un "joug à mégère" face à face.
Fait de bois ou en métal, il était destiné à punir les femmes qui parlaient un peu trop ou celles qui se disputaient. Une femme pouvait être attachée seule ou avec celle avec qui elle avait eu un conflit.
Le «cucking stool» était destiné aux femmes ayant un comportement sexuel indécent.
Bien que cet objet de torture était destiné aux femmes comme aux hommes, la plupart du temps c'était les femmes commères ou filles de joie qui prenaient place là-dessus. Elles étaient donc attachées sur la "chaise" sans siège et exposées aux yeux de tous, pour être humiliées.
Ces mêmes "cucking stool" étaient par la suite réutilisés pour noyer les victimes
C'est quelques années plus tard que les "cucking stool" se sont transformés en chaise à plongeon pour refroidir les filles de joie ou commères. Ces femmes étaient donc plongées dans l'eau autant de fois que la punition l'exigeait parfois même jusqu'à la noyade.
Le pilori pour les commères
Encore une fois les commères pouvaient être punies et misent au pilori, enchaînées à un poteau par le cou. Exposées aux autres personnes dans les rues, elles pouvaient recevoir des pierres des passants qui étaient en colère.
Une femme accusée de coucher à droite à gauche, pouvait être enfermée dans un «manteau d'ivrogne».
Cet objet destiné à la base pour les hommes coupables de vol, d'ivresse ou encore de bagarre, pouvait être également porté par des femmes. En effet, le manteau d'ivrogne était réservé aux femmes frivoles. Elles étaient laissées dans la rue, avec ce tonneau, tête et bras dépassants et humiliées par les passants.
Les femmes autoritaires ou les filles de joie avaient pour punition la marche de la honte
La marche de la honte consistait à marcher dans les rues, peu vêtu, et à être humilié par la foule qui fixait les victimes.
Les prostituées pouvaient également être bannies et marquées au fer rouge
Les femmes accusées d'être des filles de joie ou des mères maquerelles pouvaient être bannies de la ville pendant un certain temps et marquées au fer rouge sur le corps ou visage. La plupart du temps le marquage se faisait sous la plante des pieds jusqu'à ce que la peau soit ouverte.
Les femmes coupables de trahison ou sorcelleries étaient brûlées vives
La femme coupable était attachée par le cou et brûlée vive.
La bride-bavarde pour les femmes dites bavardes
Cette muselière en fer était destinée à stopper les femmes commères ou bavardes. À chaque fois que la femme bougeait la langue, des piques la lacéraient. La femme était soit attachée chez elle ou humiliée publiquement.
Une femme infidèle se voyait le nez et les oreilles coupées
En effet, lorsque une femme était coupable d'infidélité, on lui coupait le nez pour "enlever" leur beauté.
Une telle torture n'était réservée qu'aux femmes car contrairement à ces dernières les hommes ne devaient payer qu'une simple amende.
La torture de l'insomnie pour les femmes accusées de sorcellerie
Le principe était d'attacher une femme. Des personnes étaient placées tout autour d'elle l'empêchant de dormir. Ces derniers se relayaient pour lui faire peur et éviter qu'elle ne ferme les yeux. La femme finissait par mourir de fatigue.